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Linda Gourjade et Christian Cayla, Elections Législatives 2012
 

Madame, Monsieur,

 

Les 10 et 17 juin, vous vous exprimerez à l'occasion des élections législatives.

 C'est un rendez-vous décisif pour notre pays : par votre vote, vous désignerez votre représentante à l'Assemblée nationale et la majorité qui, pendant cinq ans, décidera la politique pour la France.

 Je suis la candidate pour le Parti Socialiste de la majorité présidentielle avec   François HOLLANDE.

 Le 6 mai dernier, François HOLLANDE a été élu Président de la République. Une majorité de Français ont exprimé une volonté de redressement de notre économie et de nos comptes publics ; une demande de justice sociale, fiscale, territoriale ; une attente de rassemblement des forces de la France pour relever les défis collectifs (lutte contre le chômage, avenir de la jeunesse, réorientation de l'Europe, préservation de l'environnement,  solidarité entre les générations).

 Sitôt élu, le nouveau Président de la République a tenu plusieurs engagements forts pris devant les Français. Gouvernement composé à parité, baisse de 30% du salaire du chef de l'Etat et des ministres, retraite à 60 ans et à taux plein pour les salariés qui ont toutes leurs annuités, déplacement en Allemagne et volonté de renégocier le traité budgétaire européen pour tenir compte de la croissance et de l'emploi, annonce à nos alliés que les troupes françaises se retireront d'Afghanistan d'ici la fin de l'année – toutes ces décisions ont été prises ou sont en cours.

 Pour concrétiser et amplifier le changement, le Président de la République a besoin d'une majorité cohérente et forte à l'Assemblée nationale. C'est l'enjeu des élections législatives des 10 et 17 juin.

 Elue députée, je soutiendrai l'action du Président et du Gouvernement pour changer concrètement la vie quotidienne et redresser notre pays.

 Fort de votre confiance, je soutiendrai plusieurs mesures d'urgences : annulation de la TVA Sarkozy, coup de pouce au Smic, recrutement de 1 000 postes dans l'éducation pour la rentrée de septembre, revalorisation de 25% de l'allocation de rentrée scolaire. J'agirai pour engager de nombreuses réformes majeures pour la France : contrat de génération, 150 000 emplois d'avenir, réforme des banques pour que le crédit soit accessible aux ménages et aux PME, banque publique d'investissement pour produire en France, suppression des privilèges fiscaux des hauts revenus et soutien au pouvoir d'achat des classes moyennes, police de proximité et maisons de santé dans les territoires, égalité professionnelle femmes-hommes, indépendance de la justice, non cumul des mandats et dialogue social.

 Notre pays a besoin d'une majorité de gauche à l'Assemblée nationale pour donner au nouveau Président de la République François Hollande les moyens d'agir. Le changement choisi en mai ne doit pas être empêché en juin.

 Au blocage promis par la droite, nous devons préférer la cohérence de l'action dans l'intérêt même de la France. N'ajoutons pas une crise politique aux difficultés économiques et sociales.

 Durant la prochaine législature, je serai une députée assidue à l'Assemblée nationale et présente sur le terrain, à vos côtés pour relayer vos attentes et y répondre.

 Vous pouvez compter sur moi. Le changement a besoin de vous dès le 10 juin.

 

Très chaleureusement à vous.

                                          INVITATION 

QUELLES REFORMES POUR LES COLLECTIVITES TERRITORIALES?

             MARDI 22 MAI 0 19H00  SALLE DES FÊTES     SAINT PAUL CAP DE JOUX

                                                                          AVEC

              THIERRY CARCENAC DEPUTE, PRESIDENT DU CONSEIL GENERAL DU TARN

 

Mesdames, Messieurs les élus

 Nous subissons dans nos collectivités, depuis dix ans, une forme de défiance de la part des gouvernements successifs. Depuis 2007, une accélération s’est ressentie : les protocoles républicains ne sont plus respectés ; les préfets ne représentent plus l’État et l’intérêt général ; le gouvernement précédent n’avait pas de mot assez durs pour tenter de discréditer les élus locaux et leur gestion, jusqu’à les dire coupables du surendettement de notre pays !

 La réforme régressive des collectivités territoriales, votée en décembre dernier, n’avait qu’un seul objectif, recentraliser notre République. Les discours des préfets dans les Commissions départementales de la coopération communale en sont souvent l’expression directe. La suppression de la taxe professionnelle, la fin de l’engagement pluriannuel sur les dotations de l’État, l’opacité des calculs et l’impréparation des réformes font peser une incertitude lourde sur nos collectivités. Nos budgets, qui devraient préparer l’avenir de nos territoires, sont de plus en plus durs à boucler, alors que les besoins de nos populations sont toujours plus aigus et que nos services publics sont de plus en plus vitaux.

 Ma conviction profonde, c’est que nous redresserons notre État en le remettant au service des valeurs de la République et en rassemblant celles et ceux qui tiennent au bien commun. On n’y parviendra qu’avec l’engagement politique des élus locaux aux côtés de notre nouveau gouvernement.

 Trente ans après le premier souffle de la décentralisation, il faut réaffirmer que les collectivités sont capables, compétentes, efficaces, et en prise directe avec les vrais problèmes des Français. Notre engagement, c’est de reconstruire une France décentralisée. C’est-à-dire de faire confiance aux élus locaux dans la conduite de leurs politiques, en rendant aux collectivités leur autonomie budgétaire et fiscale, en retrouvant la stabilité des engagements de l’État dans la durée, et pour tous les territoires, dans le cadre de contrats renouvelés. Je crois également que nous devons, pour la vitalité de notre démocratie, garantir un statut aux élus locaux, éviter que leur engagement au service de tous n’aboutisse à leur précarité.

Les Françaises et les Français viennent d’accorder leur confiance à François HOLLANDE en le portant à la présidence de la République.

 Parce que l’organisation de la puissance publique va du Maire au Président de la République, pour que la décentralisation franchisse une nouvelle marche pour nos collectivités dans notre Pays, nous devons donner une majorité au changement engagé par le président de la république François HOLLANDE.

 C’est le sens de ma candidature pour le Parti Socialiste aux élections législatives des 10 et 17 juin prochain.

 Je serais heureuse de vous rencontrer pour discuter de cela, avec la participation  et le soutien de Thierry CARCENAC Député, Président du Conseil Général du Tarn

 Le mardi 22 mai 2012  à 19h00

Salle des Fêtes

SAINT PAUL CAP DE JOUX

 

 

Cordialement

 Linda GOURJADE                        
 

 

 

 

 

  Une victoire pour répondre aux attentes des Francaises et des Français !  
 
 

Le 6 mai, nous avons chanté la victoire attendue depuis tant d’années, chanté une victoire espérée par nombre de nos concitoyens. Après cinq années de reculs sociaux et de remise en cause des valeurs de solidarité qui fondent la République, la France respire. L’élection de François Hollande à la Présidence de la République s’apparente à un immense bol d’air collectif.

C’est ce que nous avons entendu à La Bastille, dans la bouche de ces milliers de jeunes, de toutes les couleurs de la République, qui sont venus exprimer leur joie d’avoir réussi, par leurs suffrages, à changer le cours des choses. Le soulagement est depuis palpable, partout. Dans les yeux de celles et ceux que nous croisons dans la rue. Dans les échanges que nous avons dans le porte à porte qui a repris en vue des législatives. Dans les félicitations des salariés que nous rencontrons dans nos déplacements. Toutes celles et ceux qui ont payé au plein tarif le prix d’une crise dans laquelle ils n’ont aucune responsabilité attendent maintenant le changement.

C’est d’ailleurs bien plus que le seul soulagement d’avoir délogé Nicolas Sarkozy de l’Elysée qui s’exprime. Chacune, chacun espère que François Hollande prendra des mesures pour changer leur situation. Toutes et tous se réjouissent de voir qu’un bulletin de vote a le pouvoir de décider.

Effacer 5 ans de Sarkozysme prendra du temps

Cette campagne, notamment celle de l’entre deux tours, laissera des traces. La plus visible est celle de l’ampleur prise par le vote Front National dans notre pays. Son explication est multiple : critique des élites, peur de la mondialisation libérale, crainte de perdre son emploi... Mais dans un certain nombre de régions, ce vote reflète aussi une montée inquiétante du repli sur soi, de la peur de l’autre : une montée de la xénophobie et du racisme. Nicolas Sarkozy porte la responsabilité de cet état des lieux de notre pays. Pendant 5 ans, il a affaibli les protections sociales tout en montant parfois les Français les uns contre les autres, parfois les Français contre les étrangers.

La campagne présidentielle aura agi sur les consciences. En dégradant le vivre ensemble, en stigmatisant des parties de la population, en expliquant à demi-mot que la République ne pouvait accueillir tout le monde. Nicolas Sarkozy a fait monter les peurs et augmenté l’intolérance faisant par là même céder des gardes fous entre l’extrême droite et la droite républicaine. Le résultat en est un électorat de la droite traditionnelle durablement radicalisé, épousant sans complexe des thèses xénophobes.

La gauche devra réparer les dégâts laissés par le Président sortant. Nous allons devoir recoudre le lien social, re-créer une volonté commune à toutes et tous de construire ensemble un pays dans lequel chacun ait sa place.

Le changement, c’est maintenant !

La situation économique et financière de notre pays est difficile : nous le savons. Comment l’oublier : quelques minutes après l’annonce des résultats, les commentateurs « autorisés » nous rappelaient sur tous les plateaux de télévision que la tâche de François Hollande serait ardue et qu’il ne pourrait pas tout faire, tout de suite.

Certes, la situation des finances publiques est délicate. Néanmoins le rôle du politique consiste aussi dans la transformation de l’existant. Etre socialiste, c’est permettre que la souveraineté du peuple s’exerce, c’est faire en sorte que les citoyennes et citoyens décident de leur destin commun.

Notre candidat désormais Président le sait : il a fait campagne sur la nécessité de remettre le monde de la finance à sa place. Redonner le primat au politique, c’est la garantie que les décisions soient prises en fonction de l’intérêt général et pas des intérêts de quelques privilégiés : ceux là même qui ont déclenché la crise et tentent par tous les moyens d’en tirer aujourd’hui des bénéfices.

Un rapport de force inédit pour la gauche !

L’élection de dimanche crée une situation politique nouvelle. Elle instaure un rapport de force inédit pour la gauche. Le suffrage universel a décidé qu’il fallait tourner la page de l’austérité et des inégalités pour construire un autre chemin : celui de la croissance et d’une autre répartition des richesses. François Hollande incarne ce rapport de force. Notre tâche va être de s’appuyer sur cette donne nouvelle pour réorienter l’Europe et remettre en France la question sociale au cœur des politiques publiques.

Le premier rendez-vous de la gauche est à Bruxelles : fort des millions de voix qui se sont portées sur sa candidature, François Hollande a engagé le rapport de force pour renégocier le traité Merkel-Sarkozy. Nous devons faire sortir de ce texte ce qui grave l’austérité dans le marbre pour permettre une nouvelle orientation de la construction européenne. Le deuxième rendez-vous est le sommet social : il s’agira de rediscuter de la réforme des retraites imposée par la droite et de garantir des droits pour les salariés. La question des salaires occupera une place centrale dans ce sommet. C’est par l’augmentation des salaires, notamment du SMIC, que nous pourrons agir pour la croissance et pour une autre répartition des richesses créées dans notre pays.

Puis, très vite, il faudra, sur tous les dossiers, tenir les engagements de la campagne et répondre aux aspirations qui s’expriment : accès aux soins, développement durable, égalité femmes – hommes, réforme de la justice, égalité territoriale…

Le rapport de force qui s’engage lors des législatives, doit permettre au Parlement d’être offensif sur l’ensemble de ces sujets.

La tâche est immense. Mais l’espoir soulevé aussi. La force du vote de dimanche dernier doit nous permettre d’y répondre.

 
     
 
 
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  L'Agenda de Linda GOURJADE  
 
 

Linda GOURJADE Puéricultrice, 49 ans, domiciliée à Castres. En 1997, conseillère à la Communauté d’agglomération Castres-Mazamet. En 2001, élue Conseillère municipale à Castres. Conseillère régionale au côté de Martin MALVY jusqu’en 2010 et Déléguée auprès du Parc Régional du Haut Languedoc.

 

Linda Gourjade et Christian Cayla

  Christian CAYLA Suppléant, 52 ans, domicilié à Lavaur. Médecin à Lavaur, Maître de stage de la faculté de médecine de Toulouse et Médecin-capitaine des sapeurs pompiers.  
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